Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 167,50
    -20,99 (-0,26 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 064,14
    -8,31 (-0,16 %)
     
  • Dow Jones

    40 003,59
    +134,19 (+0,34 %)
     
  • EUR/USD

    1,0873
    +0,0004 (+0,03 %)
     
  • Gold future

    2 419,80
    +2,40 (+0,10 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 875,67
    -766,21 (-1,24 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 352,38
    -21,46 (-1,56 %)
     
  • Pétrole WTI

    80,00
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 704,42
    -34,38 (-0,18 %)
     
  • FTSE 100

    8 420,26
    -18,39 (-0,22 %)
     
  • Nasdaq

    16 685,97
    -12,33 (-0,07 %)
     
  • S&P 500

    5 303,27
    +6,17 (+0,12 %)
     
  • Nikkei 225

    38 787,38
    -132,92 (-0,34 %)
     
  • HANG SENG

    19 553,61
    +177,11 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2696
    +0,0025 (+0,19 %)
     

Drones militaires : le Maroc prend son envol avec la société israélienne BlueBird Aero Systems

Vitaly V. Kuzmin/Wikimedia Commons

Le Maroc renforce un peu plus sa coopération avec Israël. Selon les informations du Monde, la société israélienne BlueBird Aero Systems, spécialisée dans la construction de drones et fondée en 2022, va s’implanter pour la première fois au Maroc. C’est le fondateur et président de la société israélienne, Ronen Nadir, qui a fait l’annonce dans la revue espagnole Zona Militar le 13 avril dernier. Une unité de production d’aéronefs sans pilote (ASP) va ainsi voir le jour dans un avenir proche dans le royaume, sans que l’emplacement exact soit encore connu.

Contactés par nos confrères du Monde, ni l’entreprise qui est détenue en partie par Israel Aerospace Industries (15 000 employés) ni le gouvernement marocain n’ont souhaité commenter. Cependant, ces derniers mois, le ministre de la Défense marocain, Abdellatif Loudiyi, avait fait part d’un projet de développer une industrie militaire nationale axée sur la production d’aéronefs sans pilote. BlueBird Aero Systems s’est déjà implantée hors de son sol, en Inde, mais de nombreuses questions subsistent quant à cette nouvelle implantation. Interrogé par nos confrères, un ancien officier de la gendarmerie marocaine, Nizar Derdabi, estime qu’il devrait y avoir un partage de connaissances et un transfert progressif de technologies. «Des ingénieurs israéliens formeront leurs homologues marocains sur place», affirme-t-il.

En multipliant les implantations de ce type, le Maroc pourrait vouloir se doter d’une base industrielle technologique de (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Changement à la tête de la SNCF : Jean-Pierre Farandou bientôt sur le départ
Maternités : la Cour des comptes alerte sur des «risques périnataux importants»
Passez à l’énergie verte locale avec Alterna énergie
Le yacht Art déco de Christine Bravo : une histoire de résilience face aux tempêtes financières
Paris sous haute sécurité : perturbations dans les transports pour la visite de Xi Jinping